Les transferts à coût de dizaines de millions sont devenus la norme dans le football moderne. Les effets d’annonce de rachat à plus de 100 millions sont de plus en plus fréquents. Face à cela la crise financière qui touche le monde s’accentue. Une nouvelle fois le football est en décalage face aux réalités. Et le footballeur dans tout ça?

Ils gagnent de l’argent (pas tous) mais sont aussi la main d’œuvre de leur corporation : et l’argent leur revient. La Cour de cassation assimile depuis toujours le football à un salarié comme les autres. Et pourtant, la spécificité sportive a ses limites. De par leurs salaires, les enjeux liés à leurs transferts où encore leur organisation du temps de travail, les footballeurs sont bien éloignés des salariés d'usine. Quelles règles doivent-ils leur être alors appliqués? Le Code du travail doit-il leur être étranger?

Intervenants à paraître bientôt.

Un débat organisé par TATANE.