SANS SÉBASTIEN + CLICHÉ + GUILLAUME STANKIEWICZ
FGO-Barbara vous convie à une soirée en compagnie de la nouvelle garde pop française!
SANS SÉBASTIEN
Découverts par Lio, les Parisiens de SANS SEBASTIEN (Cyril Brière et Nicolas Magenham) forment un duo aux influences à la fois électro-pop et cinématographiques.
Depuis leur premier EP Pop love en 2013, puis leur single Sous ma jupe en 2014, ils tracent imperturbablement leur sillon, celui d’une pop limpide et sucrée, où l’on perçoit l’esprit de Giorgio Moroder, d’Etienne Daho, ou de Michel Legrand. Célébrés par des journaux comme Le Point, Les Inrockuptibles, ou Magic, ils ont également pu mettre leur douce folie au service de la scène, notamment aux Francofolies de Montréal, à la Flèche d’Or, ou aux Trois Baudets.
Après les avoir retrouvé l'été dernier aux manettes du slow planant et décalé Pacific ("Sans Sébastien signe le slow de l'été" - Les Inrocks 2015), les revoici avec dans leurs bagages un nouvel ep 6 titres, Loin d'ici (La souterraine / Believe Digital). Une excursion onirique exaltante, une ode à la liberté, aussi joyeuse que nostalgique.
CLICHÉ
Captiver quelques instants, capturer ces moments, envoûter l’atmosphère et capter la lumière. Faire des instantanés, exposer l’éphémère, fixer l’imaginaire, révéler la clarté. Et d’un
simple déclic vous dévoiler Cliché… Cliché écrit ses chansons psychédéliques, comme un photographe fixe le temps pour en dévoiler l’émotion qui s’en dégage, et après son premier essai paru fin 2014, renouvelle cet exercice dans un nouvel EP qui sortira le 18 avril. Quatre nouveaux morceaux dévoilés dans un Carré Magique ou la chanson tutoie l’électronique pour notre plus grand bonheur.
GUILLAUME STANKIEWICZ
La musique de Guillaume Stankiewicz a toujours trouvé dans le folk un appui sûr. Les chansons de Neil Young, Townes Van Zandt ou Will Oldham auront été pour lui une langue, un lieu familier dont il fallait tout de même partir pour aller voir ailleurs. Et ailleurs c’était ici : il fallait seulement comprendre qu’on pouvait faire quelque chose avec une langue aussi « compliquée » que la nôtre. Pour ça, Dominique A aura été décisif. Sur le chemin, il aura aussi fallu se frotter aux grands génies pop (McCartney, Wilson…) et, modestement, apprendre d’eux à chercher l’évidence tout en se méfiant des harmonies trop faciles et des accords parfaits.
Et puis bien sûr, il fallait aussi se trouver une voix… Digérer les musiques entendues depuis l’enfance, dégager de la masse des influences, des souvenirs et des réminiscences, une voix vraiment la sienne, savoir l’écouter, la reconnaître et la laisser venir.
Après un premier EP réalisé en autarcie en 2014 (sélectionné pour le prix Moustaki 2015), c’est en studio, entre juin et novembre de l’année dernière, qu’il a enregistré et mixé six nouvelles chansons. De ces chansons on ne saurait dire si elles sont tristes ou gaies tant elles jettent des reflets différents selon l’oreille qu’on leur accorde, s’en tenant à des impressions, des images, aux états un peu indéterminés par lesquels on passe, sans trancher. Elles ont l’élégance de laisser la place à l’auditeur en somme, l’accompagnant quel que soit le côté où il penche.
Voici donc six chansons sérieuses à emmener jusque sous la douche – car une chanson c’est à la fois noble et trivial, ça s’écoute mais, bien plus, ça se chante.